Brève histoire du thé

Le théier a pour nom scientifique le Camélia Sinensis. A l’état sauvage, il peut atteindre une vingtaine de mètres et vivre plusieurs milliers d’année. Mais majoritairement cultivé il ne dépasse pas les 1m50 pour faciliter la cueillette qui est le plus souvent manuelle.

Le théier a pour nom scientifique le Camélia Sinensis. A l’état sauvage, il peut atteindre une vingtaine de mètres et vivre plusieurs milliers d’année. Mais majoritairement cultivé il ne dépasse pas les 1m50 pour faciliter la cueillette qui est le plus souvent manuelle.

A l’origine, la Chine

Selon la légende le thé fut découvert par un empereur chinois qui assit sous un théier reçu une feuille portée par le vent dans sa tasse d’eau chaude en 2737 av JC. D’autres pays tels l’Inde et le Japon ont leur légende fondatrice.
Quel que soit la légende, l’origine du thé est chinoise et les arbustes qui se sont depuis diffusés à travers le monde sont eux aussi originaires de Chine. La richesse de la production chinoise, qui offre une grande variété (Yunnan, Long Jing, Keemun…) et certains des thés les plus réputés (PuErh, Yin Zhen…), témoignent d’une culture millénaire.

Diffusion en Inde, au Sri Lanka et en Afrique

Au XIX es, pour contrer le monopole chinois, le thé a été planté à grande échelle en Inde et à Ceylan. Après la Chine, l’Inde avec le Darjeling et l’Assam puis le Sri Lanka (anciennement Ceylan) sont devenus les principaux producteurs de thé dans le monde. Mais depuis le XXe siècle, d’autres pays prennent une importance croissante dans la production de thé tels le Kenya et, de façon plus confidentielle, le Népal, le Malawi et le Rwanda.

Le Japon et Taiwan

De longue tradition, le Japon et Taiwan se distinguent par la qualité de leurs thés. Taiwan est réputé pour une catégorie de thé moins connue, celle des Oolong, ce qui en fait le premier producteur de thé Bleu-vert. Le Japon cultive 95% de thés verts, dont les plus connus sont le Sencha, le Gyokuro et le Matcha.

A l’origine, la Chine

Selon la légende le thé fut découvert par un empereur chinois qui assit sous un théier reçu une feuille portée par le vent dans sa tasse d’eau chaude en 2737 av JC. D’autres pays tels l’Inde et le Japon ont leur légende fondatrice.
Quel que soit la légende, l’origine du thé est chinoise et les arbustes qui se sont depuis diffusés à travers le monde sont eux aussi originaires de Chine. La richesse de la production chinoise, qui offre une grande variété (Yunnan, Long Jing, Keemun…) et certains des thés les plus réputés (PuErh, Yin Zhen…), témoignent d’une culture millénaire.

Diffusion en Inde, au Sri Lanka et en Afrique

Au XIX es, pour contrer le monopole chinois, le thé a été planté à grande échelle en Inde et à Ceylan. Après la Chine, l’Inde avec le Darjeling et l’Assam puis le Sri Lanka (anciennement Ceylan) sont devenus les principaux producteurs de thé dans le monde. Mais depuis le XXe siècle, d’autres pays prennent une importance croissante dans la production de thé tels le Kenya et, de façon plus confidentielle, le Népal, le Malawi et le Rwanda.

Le Japon et Taiwan

De longue tradition, le Japon et Taiwan se distinguent par la qualité de leurs thés. Taiwan est réputé pour une catégorie de thé moins connue, celle des Oolong, ce qui en fait le premier producteur de thé Bleu-vert. Le Japon cultive 95% de thés verts, dont les plus connus sont le Sencha, le Gyokuro et le Matcha.